Le gouvernement peut expulser des non-citoyens pour toute raison qu'il juge appropriée. C'est ce que signifient les mots "non-citoyen". Celui qui n'est pas de la ville. Si un non-citoyen parle et se révèle être un ennemi de la ville, l'expulser est littéralement la responsabilité fondamentale du gouvernement, car le gouvernement est institué pour défendre la ville. Le fait de ne pas le faire est une négligence fondamentale de ses devoirs. Je suis pleinement conscient que FIRE considère la liberté de dire quoi que ce soit sans conséquences de quelque sorte que ce soit comme un droit humain fondamental, dû à quiconque dans le monde par tout le monde dans le monde. Mais le gouvernement fédéral des États-Unis n'a pas été constitué pour défendre, ni même pour définir, les droits universels des humains, de manière égale. Il a été constitué pour défendre les droits des Américains. Autrefois, quand l'Amérique était pleine d'Américains, ces deux propositions étaient presque identiques en pratique, et il fallait plisser les yeux pour faire la différence entre elles. En raison de cette confusion exploitée par des communistes qui la détestent, l'Amérique est maintenant pleine d'étrangers, d'envahisseurs et d'ennemis. Et cette distinction devient non seulement importante, mais vitale. Une nation ne peut pas survivre si elle s'engage par la loi à traiter ses ennemis de la même manière que ses amis.
FIRE
FIRE6 août, 20:57
2/ FIRE’s suit seeks a landmark ruling that the First Amendment bars the government from deporting noncitizens for protected speech. Rubio has invoked two immigration laws—one allowing him to revoke visas, another letting him target speech seen as a threat to U.S. foreign policy.
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